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Agenda et travaux de l'Amicale

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Compte-rendu de l’Assemblée Générale du 4 décembre 2007

Quai D'Anjou - Paris – Île Saint-Louis

Bulletin n°25 - mars 2008

Cette AG s’est tenue dans les très beaux locaux de la Fédération parisienne des artisans boulangers pâtissiers, quai d’Anjou sur l’île Saint-Louis.
Quorum atteint (présents + pouvoirs)
Bilan moral : 3 réunions de bureau. Une seule réunion de CA.
Déception suite à l’annulation de l’AG de Nice le 1er octobre.
Activité en sommeil. Peu d’information, pas de bulletin, demande de documents techniques écrits.
Discussion sur les projets d’externalisation du secrétariat et mise en page du bulletin.
Proposition de Hubert CHIRON adoptée pour un essai d’un an ( un vote contre –BRUOT - et une abstention –LEROUX- )
Tiers sortant : BROUTIN – CHASSERAY – DUFOUR – FERNANDEZ – GERARD – GRAVOUEILLE – JAUNET – LHELGOUALCH
Ne se représentent pas : CHASSERAY – L’HELGOUALCH-
Poste vacant : TAPIAU
Nouveaux candidats : MICHEL Maryse - PETIT Dominique – PHILIPPE Jean-José –
Election et réélection à l’unanimité.

Bilan financier: l’association dispose de réserves suffisantes pour faire face aux nouvelles dépenses d’externalisation du secrétariat et de publications de bulletins. Trop d’argent en sommeil sur le compte courant, le trésorier est invité à se renseigner sur les conditions de placement à vue.

Avenir de l’amicale et attentes des adhérents : MATSUURA est attaché au respect des techniques initiées par R.CALVEL et souhaite plus d’échanges d’informations avec d’autres pays. Il manifeste sa volonté de garder la vocation internationale de l’association ( témoignages à Europain 2008 ).
FISCHER propose la diffusion d’un contenu technique minimum sur les sujets d’actualité -bulletin technique-.
VILLOTEAU : 1 an sur 2 panification. Les AG devraient une fois sur deux comporter des démos de panification : étude sensorielle, tests comparatifs,…. Il est en outre demandeur de voyages d’étude (professionnels)
BRULFERT propose que le point de vue des consommateurs soit sollicité.
PHILIPPE demande plus de communication avec les compagnons du devoir. Une formation pour maghrébins et étrangers qui reprennent des boulangeries en région parisienne pourrait être envisagée. Il faudrait réussir à se faire connaître auprès de ces personnes.
GERARD pense qu’il ne faut pas s’éloigner de la technique et qu’il faut aussi penser à recruter des adhérents dans les associations des boulangers Français installés à l’étranger.
EULLAFFROY rappelle qu’un projet d’évolution avait déjà été réalisé par la mise en place de 3 commissions créées en 2003. Combien de réunions ?
GRAVOUEILLE souhaite que l’Amicale se tourne davantage vers les jeunes et qu’elle leur transmette la passion du métier. Prendre contact avec les CFApprentis et envisager des déplacements pour des présentations de topos.
LEROUX souhaite un « Pain sans frontière » et l’ouverture vers des gens qui ne sont pas du métier.
PETIT demande cette même ouverture et une action vers les élèves de CFA 2e année. Il faut inciter les jeunes boulangers à se battre sur le goût et non sur les prix ( qualité moyenne des pains spéciaux )
CHARUEL manifeste également son intérêt pour la publication d’articles techniques et d’un bulletin. Pourquoi ne pas envisager des démonstrations actualisées : bio, etc ... ?
HEBERT rappelle que les adhérents vieillissent et que les techniques du professeur risquent de tomber dans l’oubli. Que penser du pain aux fleurs ? Les boutiquiers "font feu de tout bois".
TIREAU demande aussi plus d’exposés techniques et la création de formations, stages CALVEL. Peut-on envisager une tribune sur les produits nouveaux et les nouveaux matériels dans le bulletin ? La mécanisation et la qualité ne sont pas antinomiques.
FERNANDEZ pense qu’il faut recruter vers les professionnels des autres métiers de bouche.
HARTSTEIN rappelle à l’assemblée que la création de l’amicale correspondait à une demande, il faut intégrer les attentes des adhérents. R.Calvel était un précurseur et la mise au point de pains de qualité (banette) est toujours recherchée par des consommateurs avertis. Il faut perpétuer le nom de Calvel et s’inspirer de ses fondamentaux.
CHASSERAY pense que le bulletin est fondamental pour la communication et le recrutement de nouveaux adhérents.
FAISY : Sur le fond, priorité doit être donnée aux écrits ( revue) et aux témoignages de boulangers ( anciens et actifs) aux réunions. Envisager aussi l’étude critique de la réglementation. Sur la forme : participation extérieure.
MICHEL évoque la difficulté de survivre au créateur. Meilleur pain français fabriqué par les étrangers. La génération actuelle ne connaît pas R.Calvel il faudrait pouvoir ouvrir les exposés et conférences à Europain à tous les boulangers.
Est-il envisageable de participer à la semaine du goût ? BRUOT souhaite aussi que l’Amicale soit un club de réflexion sur le devenir de la boulangerie moderne, un centre de remise à niveau des professionnels ( patrons ). Le souci de transmission d’entreprise est aussi évoqué. Importance du bulletin.


Réunion à Europain : le jour, l’horaire et le contenu restent à définir.

Statuts : pas de consensus sur le futur nom de l’amicale. Une suggestion de nom sera demandée aux adhérents avec le coupon-réponse à la convocation pour Europain . Il semble qu’un accord se dessine pour conserver le nom de CALVEL en l’associant au mot pain.


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